Dans une forêt non loin de l'auberge

Dans un dernier cri de douleur, Althir s'écroula sur le sol de tout son poid, ce qui provoca un bruit sourd. Toute fois tous entendaient encore sa respiration bruyante, suffocante.

Plusieurs autres rires de demi-démons s'éloignaient au loin comme une onde malveillante.......

C'est demi-démon n'ont vraiment aucun honneur, dit Sylis en s'adossant contre un arbre.

Plutôt que de s'acôter sur un arbre, le Corbeau aida Althir..

Tant qu'à parler des fils du chaos, aider le don!!

Merci, Fut tout ce qu'il réussit a dire
Ses yeux le fesaient soufrir, à un tel point qu'il ne voyait plus rien, et que toute ses force était drainé par la douleur

Sylis alla l'aider puis demanda.
Que voulait-il a Althir au juste. Je ne comprend pas vraiment ce qui ce passe.

Tu n'as qu'à aller lui demander...
Corbeau, apportez-moi au village

Soudain , Nienna entendit quelqun sapprocher...
elle vit un grand homme vêtu de noir..
elle pouvait y voir un visage meurtrie par tout les combats
quil avait du fair...Il lui repondit d'une voit sec...
je vous offre tout mes daros,desoler si jen ait pas plus.
je parlerer de vous a lauberge puisque je vais au village.

Voyant que personne ne s'occupait vraiment de lui, Althir se défit de l'emprise du Corbeau, qui le maintenait debout, et partit vers le village et trébuchant et manquant de tomber à mainte reprises. Puis, il disparu dans la forêt et continua de se diriger vers le village ou, là ou il croyait que le village se trouvait. Il perdait encore beaucoup de sang, il était faible et aveugle mais il était déterminé à survivre. Il continua de marcher en titubant jusqu'à ce qu'il s'écroule au sol. Althir continua de ramper durant un instant et arriva à une pallissade. Il s'adossa sur celle-ci et tenta de reprendre quelques forces en essayant de déterminer ou il se trouvait. Il comprit qu'il y avait trois possibilité sur son emplacement, en prennant compte de la dirrection qu'il avait pris et la distance qu'il avait parcouru: soit il était au village, soit à la forteresse du clan des loup, soit à la forteresse des chevaliers de Tal.

À l'intérieur de la palissade des chevaliers de Tal, Alvarès donnait des ordres à ces compagnons...les rénovations allaient bien, mais pas encore assez vite au goût d'Alvarès Il aurait voulu terminer de reconstruire le mur tombé bien plus rapidement...Lui et Lionnel sortire de la forteresse pour mesurer la longueur d'un des murs...c'es alors qu'il remarquèrent leur ami Althir, adossé contre un des murs, en très mauvais états, du sang semblait dégouliner de sa bouche et de ces yeux....le spectacle n'était pas du tout beau à voir...Les deux chevaliers se précipitèrent sur lui pour le soulever et le transporter à l'intérieur du campement. Alvarès fit poster un de ces hommes à la porte pour être certain que personne ne suivait Altnir. Il alongère le blessé sur un lit de camp, le prêtre se pencha sur lui et examina ses blessures.

Seim, le prêtre, avec l'aide de Steiner le rodeur, appliquèrent quelques herbes sur le visage d'Althir. Alvarès ne connaissait pas ces herbes...en fait, Alvarès ne connaissait que très peu de choses dans le domaine de l'herboristerie. Après quelques minutes de soin intensif, Althir sembla se détendre quelque peu...Pour ne pas troubler son repos, Alvarès décida de stopper tous les travaux à l'intérieur du campement, se qui ne le réjouissait pas, car il trouvait déjà qu'il avait prit du retard dans la rénovation de son campement....

Lorsqu'Althir entendit Alvares d'ordoner à ses hommes d'arreter les travaux, il reconnu imédiatement sa voix, ce qui le détendit d'un coup. Les herbes des guérriseurs lui faisait un bien imesurable, mais il ne retrouva pas la vue.

Sylis prit l'arme de Althir et partit en marchant dans la direction ou il était partit. Puis a un asser bonne distance, Il s'enfuit par le sous bois pour etre le plus dicret possible sur ses traces.

Près du campement, il s'arrèta et se cacha dans un buisson pour voir ce qui ce passait par le mur tomber.

[b]..... ...... (en chuchotant) Léo, étant derrière, camoufler dans l'herbe, lui dit:
Ne vous inquietez pas nayez pas peur, je ne suis pas ici pour vous faire du mal. Faites moi confience.
Vous devriez faire plus attention a vous camarade, car en ces temps, bien des brigants empruntent ses chemins.

(hors heu)- (Je ne resemble aucunement a un voleur et tu ressant facilement que je suis une bonne personne.)

Donc sur ce predez garde,car au pied du mur je ne craint de ne pouvoir arriver a temps.

Il partit comme il est arrivé, ne laissant aucune trace derriere lui tout en ne fesant aucun bruit.

h-j nienna il faudrait que tu reponde
lorsquon te parle

Sylis alla se camoufler plus près dans un buisson en fesant attention que personne le voyent.

les personne qui etait pres du chemin vis un homme habiller tout noir
dont on ne pouvait voir son visage,ils virent quil se dirigeait vers
le village...

tout en me promenant, je vis quelque feuille dun buisson bouger...
je decidame dallez voir ce que cetait...

ptssssss venez a moi jeune homme, ne restez point a découvert, l'odeur du sang attire la vermine. Croyez moi mon cher, il en est ainsi depuis toujours.... j'aurait l'honneur de me présenter une autre fois. Gardez foi en vous ne sombrez pas dans ces pensées noires.. au plaisir de vous revoir.

et Léo repartit et Kalthir n'entendit q'un léger vent dans les feuilles.

Un peu plus loin- :- Oh grande et puissante Mère protège ces valeureux guerriers puisse leur donne chance de passer la nuit. Que votre force me guide, Oh grande et puissante Mère.
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Et d'un coup l'énigmatique personnage tomba par terre.
grraaaaaaaawwwwww!!!!!!! Non Pas EnCore nnnnnooooooooonnnnn!!!!!
(hors jeu)- oui Kalthir et Syslis vous entendez sa.

Mais qui crie...je crois que sa vien de la bas.
Kalthir marcha vers la voie quil venait dentendre.

Au bout d'un bon moment, les yeux de Althir ne le fasait plus soufrir du tout. Il se releva, malgrés les recomandation du guérrisseur. Completemet dérouté, Althir tenta de reconnaitre son emplacement en tâtant des mains les allentours, mais jamais il n'avais pris la peine de remarquer des détails qui à présent lui serait indispensable. Après quelques instants il reconnu une survace verticale, dure et lisse: ca devait etre un mur. Il longea celui-ci, en gardant sa main dessus pour se guider, et se rendit j'usqu'a une ouverture dans le mur: la porte. Avant de sortir, Althir se tourna vers celui qui l'avait guérrit pour adresser la parole:

Merci pour ce que vous avez fait, je m'en rapellerait toujours. Pour l'instant je dois partir. Peut etre un jour je pourait m'aquiter de cette dette que j'ai envers vous...

Après avoir dit ses mots, Althir sortit du campement, un peu en zigzagant, et disparu dans la foret