Tudieu qu'il fait froid!

Cardinal avait, à regret, dut quitter son sympathique chapeau et ses vêtements d'été si fantastique pour une cale de laine paysanne et une garde-robe complète en laine suite aux températures plus que basse de ce début de journée. Lublin était calme, les gens quittaient pour l'hiver ou ne sortait plus de leurs bâtiments et cela agaçait beaucoup le barde en lui. Fallait dire qu’habillé de la sorte, il avait plus l'air d'un agriculteur que d'un maire et aussi...Il détestait l'hiver! Cela dit, malgré le froid il voulait prendre une bonne marche dans la forêt de pins mais il hésitait à se promener seul...Il sortit des bâtiments de la guilde et sentit la morsure du froid sur son visage.

- Tudieu qu'il fait froid...Ahlalala si j'étais pas maire je dirais qu'on «s'les gèle comme dans l'nord p'tain»!

Qui voudrait bien l'accompagner pour discuter de tout et de rien?

L'hivers arrivé, le soleil se couchait tôt et la nuit semblait durer une éternité... C'est sans aucun doute pour cela que Noah adorais tant cette saison. Le silence qui reignait dans Lublin était apaisant. La lune faisait reflèter sa lumière sur la neige qui devenais bleutée, magique et magnifique.
La curiosité de Noah l'amenais souvent à s'approcher des villages la nuit, mais, par peur de se faire voir, elle longeait toujours la foret, cachée dans l'obscurité. Elle vit un homme se promener seul dans le village, tout emitoufflé dans des manteaux de laine. Elle reniflait sa chaude odeur attirante. Son ventre avait été rassasié depuis peu mais, une telle odeur ne peu qu'être captivante pour elle. L'humain était toujours une fascination...
Il n'y avais que cet homme dehors, dans cette nuit étoilée et ce village vide d'apparence.
''Tudieu qu'il fait froid...Ahlalala si j'étais pas maire je dirais qu'on «s'les gèle comme dans l'nord p'tain»!''
''Maire!?'', se dit-elle. ''Il a l'air innofensif pour un homme de cette stature!''
Elle s'approchea un peu plus près et s'accroupi dans l'ombre du salon de thé. ...Se risquerait-elle d'avancer d'un pas de plus? Sa curiosité la mattais parfois dans des situations dangereuse...Mais sa fascination pour l'homme et son odeur lui fit oublier qu'elle était maintenant à demi accroupie, à côté de la bâtisse qui la cachait...La lumière bleuté de la lune montrait la jeune femme à son insue.
La peau d'ivoire, ses cheveux rougeoyants, ses yeux profondement sombre...une simple robe couleur nuit couvrait son corps blême, ses pieds nus s'enfonçaient légèrement dans la neige glaciale.
Lorsqu'elle s'apperçu qu'elle était maintenant à découvert, elle se redressa, serra ses bras autour de son corps et s'adressa à l'homme:

- ...Froid...J'ai si froid monseigneur...

Noah grelottait en serrant les genoux...

- ...Froid...J'ai si froid monseigneur...

Cardinal eut un sursaut gigantesque. Il savait pas trop ce qu'il avait devant lui mais la pauvre avait l'air de mourir de froid alors il lui tendit sa peau de coyote et alla chercher une tasse thé chaud dans le bâtiment de la guilde marchande. Nay-nay n'avait pas trop posé de questions et avait versée une généreuse tasse d'un excellent thé vert. Il lui tendit la tasse et lui fila aussi une couverture de laine pour qu'elle se réchauffe! C'était pas humain de laisser ainsi une pauvre (et relativement jolie créature) ainsi mourir de froid.

- Mais qu'est-ce qu'une fille comme vous fait dans un temps pareil dehors sans protections ni vêtements! Ma foi c'est dangereux! Et avec les orcs dans le coin vous avez eu de la chance de pas finir en filet mignon!

Il eut une pause. Il s'emportait un peu, depuis la mort d'Utaki il était beaucoup plus protecteur envers les demoiselles qu'ils rencontraient.

- Sinon...Votre nom?

L'homme s'était approché de Noah, lui donna une peau, une tasse de thé chaud et une couverture de laine.

Elle posa la peau par terre pour s'assoir dessus, s'entoura rapidement de la couverture de laine et serra la tasse de thé entre ses doigts glacés. Elle avait cessé de trembler, s'était placé en petite boule dans la couverture et respirait profondément l'odeur chaude du thé fumant en faisant mine d'en aimer l'odeur, quand pour elle, s'avait l'odeur de chien mouillé, dégoûtant.
''Mais qu'est-ce qu'une fille comme vous fait dans un temps pareil dehors sans protections ni vêtements! Ma foi c'est dangereux! Et avec les orcs dans le coin vous avez eu de la chance de pas finir en filet mignon!''

Noah avait tout de suite remarqué l'instinct du maire à vouloir s'occuper des personnes plus faibles et décida de tourner ce point à son avantage. Il eu une pause et, elle en profita aussitôt pour se blotir contre lui, la tête appuyée dans son cou, l'air de vouloir être rassurée et protégée. Elle remonta son visage, frotant son nez froid dans le cou de son ''sauveur'' tout en ayant un soupir de réconfort, un sourire au lèvres...Quelle odeur chaude et savoureuse se dégageais de lui! Haawwww!
Il poursuivit en demandant : ''Sinon...Votre nom?''

Sans bouger d'avantage, elle lui répondi, avec une petite voix douce :

- Noah...Comment puis-je vous appeller monseigneur?...

Elle fit tout ce qu'elle pus pour que le feu dans sa gorge ne paraisse pas dans son visage.

Febas venait d'arriver au Zahedan. Il avait déjà fini une missive qu'il avait envoyé à Cardinal lui signalant qu'il était arrivé à destination. Il était en train d'écrire une seconde missive destiné à Oroshabi. Il faisait nuit noir et Febas commençait à être fatigué. Mais la chaleur l'incommodait. Il pensait à Cardinal, Oroshabi, Clothilde, Frère Gaël et ses amis. Il se demandait ce qu'ils pouvaient faire en ce moment.

Derrière lui, sa porte de chambre avait le bas qui éclairait d'une petite lumière orangé. Comme si une chandelle était resté allumé. Mais Febas fut attiré par quelque chose d'autre, ça sentais la fumée... (SPOILER! )

Lettre destiné à Cardinal:

Mon cher Cardinal,
Je suis arrivé a destination dans ce merveilleux pays qu'est le Zahedan. Il fait si chaud...
Mais bon, j'imagine que tu t'amuses déjà plus que moi. Sur ce, je te laisse, je dois voir
si je peux faire pousser des légumes dans cette région.

Ton ami,

Febas

- Noah...Comment puis-je vous appeller monseigneur?...

Elle s'était blottit contre lui...Pas qu'il détestait ça mais avec les années il apprenait à quand même se méfier des étrangères. Il l'a repoussa légèrement et lui répondit.

- Cardinal de la Rivière maire de Lublin,barde de la guilde du chat noir, chef de la Trinité Grise et de tous le reste dans l'coin gentilledame! Mais que venez-vous faire dans la région Noah?

Il l'a repoussa légèrement et lui répondit :
'' Cardinal de la Rivière maire de Lublin, barde de la guilde du chat noir, chef de la Trinité Grise et de tous le reste dans l'coin gentilledame! Mais que venez-vous faire dans la région Noah?''

Elle se redressa, toujours assise et se sépara un peu du Barde. Elle regarda le sol, la neige qui brillait sous la lumière de la lune et semblait perdu dans ses pensées...

- Alors, si vous me permettez, je vous appellerai Mr. Cardinal...Parce que tout les autres titres que vous avez donné, j'y connait rien et ça me perd un peu...

Elle passa sa main droite dans sa longue chevelure rougeoyante pour descendre dans son cou et, le coin droit de la couverture tomba au sol pour découvrir la peau ivoire de Noah. Sa robe bustier noire laissait ses épaules et le haut de sa poitrine nue pour terminer à mi-cuisse, déchirée maladroitement, les jambes et les pieds nus. Elle n'en sembla pas incommodé pour rien au monde.
Après un moment perdu dans ses pensées, elle répondit, toujours en fixant le sol :

- ...Je n'ai pas de mauvaises intentions en passant dans vos lieux Mr. Cardinal...Je ne suis qu'une voyageuse qui ne reste généralement pas très longtemps avant de repartir vers d'autres lieux...Je crois que je n'ai pas encore trouvé ma place...

Elle regarda l'homme dans les yeux, sans un sourire. Ses traits rapelaient les trais d'une toute jeune femme d'à peine 20 ans.

- ...Je n'ai pas de mauvaises intentions en passant dans vos lieux Mr. Cardinal...Je ne suis qu'une voyageuse qui ne reste généralement pas très longtemps avant de repartir vers d'autres lieux...Je crois que je n'ai pas encore trouvé ma place...

Pas trouver sa place...Il connaissait se sentiment que trop bien. Il l'avait pas trouvé dans l'armée et encore moins à l'école...Il était un éternel voyageur mais depuis quelques temps Lublin restait son foyer. Il s'y était fait tant d'amis, de frères/soeurs d'armes et avait même réussit à guérir une elfe muette, Lublin était sa patrie et il ne pourrait jamais l'a quitter définitivement. Il regarda la femme, elle devait avoir une sacré résistance au froid pour se promener ainsi pieds nus. Il l'a regardait et son double sens bardique l'avertissait de quelques chose mais il n'arrivait pas à mettre le doigt dessus...Bah il fallait qu'il arrête de s’inquiéter, dans le pire des cas ses amis était de l'autre côté de la porte et il portait sur lui une dague imbibé de poison paralysant et Aléna le savait, il était rapide.

- Ha ha ha...Je connais ce sentiment, j'ai voyagé longtemps avant de trouver ma place içi! J'y ai trouvé des gens avec qui il fait bon vivre alors j'ai fait de ce hameau ma patrie! Je ferais tout pour ce village et ses habitants quitte à y laisser la vie...Noah savez-vous ce qu'il y a de plus fantastique dans une vie?

Il marqua une pause et regarda au loin.

- Avoir une cause...Avoir une cause pour laquelle donner notre vie aurait du sens!

''Ha ha ha...Je connais ce sentiment, j'ai voyagé longtemps avant de trouver ma place içi! J'y ai trouvé des gens avec qui il fait bon vivre alors j'ai fait de ce hameau ma patrie! Je ferais tout pour ce village et ses habitants quitte à y laisser la vie...Noah savez-vous ce qu'il y a de plus fantastique dans une vie?... Avoir une cause...Avoir une cause pour laquelle donner notre vie aurait du sens!''

Noah écoutait peu attentivement les paroles du barde. Elle était plutot afféré à regarder le poul de celui-ci battre dans son cou, entendre son sang dans ses veines. La gorge lui serrait et elle lui brûlait. ...Avoir une cause pour que notre vie ai du sens... Elle se râcla un peu la groge, avala, puis pencha la tête légèrement sur le côté en serrant les lèvre, presque pour les mordres.

- ...Et le sens de la vôtre Mr. Cardinal...Quel est-elle?

- Me battre pour éviter les conflits...Je veux la paix, l'amour et la grâce d'Aléna ma déesse partout dans le monde et je suis prêt à me battre corps et âme pour cela!

Il regarda la femme qui semblait plus intéressé par son corps que par ce qu'il disait, en effet elle le scrutait de pied en cap et sa le rendait nerveux. Cette femme avait une drôle d'aura maintenant qu'il s'y attendait...Elle dégageait une impression de...Passion mêlée à une profond sentiment de violence. Cardinal sentait cela et restait sur ses gardes. Qui était cette femme et pourquoi elle ne semblait pas avoir froid tant que cela! Hummmmm...

- Ma chère dame je vous ai demandé votre nom et vous ai parlé de mes rêves et ambitions mais vous...D'où venez-vous?

''Ma chère dame je vous ai demandé votre nom et vous ai parlé de mes rêves et ambitions mais vous...D'où venez-vous?''
La pharse de Cardinal la sorti soudainement de sa fixation. Elle regarda un peu partout ailleurs et dégluti pour essayer d'enrayer la brûlure de sa groge en vain. Elle sembla sodainement un peu nerveuse et échapa (par exiprès) sa tasse de thé dans la neige. Elle essaya de se concentrer à avoir une respiration humaine. Tant pis pour le thé, ça lui donnera une raison de ne pas le boire... Elle ramassa rapidement la tasse en semblant confuse. Elle la retendi au barde en lui disant :

-..humm..excusez-moi...je suis si maladroite parfois!...Que...que vouliez-vous savoir à mon sujet déjà?...Ha! oui...d'où je vient...Kartasse...enfin...si je me rapelle bien...!

torpinouche qui fait frete a lublin se dit julius le forgeron de la garde seigneurial qui rendit visite au gent de lublin

vit un couple de tourtereaux assit sur une peau et emmitoufler d,une couverture de laine leur dit en passant et

reconnait le cardinal de la flaque d,eau et les jeunot vous trouver pas qui fais frete en moudit pour rester assit

sur une peaux a terre vous aller attraper la creve par un temps parreil entré vous réchauffer a l,intérieur torpinouche

tous en poursuivant sont chemin vers le batiment de la garde

boutciarge se dit le vieux julius pour moi ils sont completement geler ils ne m,ont pas repondut

ont vas etre obliger de faire des funéraille s,ils sont mort

Sortie de sa fixation de l'artère de Cardinal qui pompait, elle regarda l'homme qui venais de se joindre à eux...

- Non merci...je n'ai pas très froid à vrai dire...

Elle se leva, laissa tomber la couverture et avança vers le forgeron. Pieds nus dans la neige, son corsage serré a sa taille qui descendais en petite robe sombre et arrêtais à mi cuisse, déchirée, les épaules et les bras libres de se faire caresser par la froidure de la saison. Sa peau ivoire paraissait encore plus blanche avec la lumière de la lune sur la neige.
Elle regarda Cardinal un bref instant, comme si elle lui tranmettait un message...
Ensuite, elle regarda le forgeron et glissa sa main gelée dans le cou de celui-ci en caressant sa jugulaire qui paraissait incandescante sous ses doigts.

-...J'aime la nuit et sa froidure hivernale...je trouve ce temps vivifiant...ne trouvez-vous pas?

Noah semblais s'approcher doucement de plus en plus vers l'homme.

julius tout surpris de voir la jeune femme se lever et a demi vetue

vit la jeune femme avancer vers lui et tendre la main sur mon cou un frisson glacial me traversa le corps

retiras doucement la main de la jeune femme et lui dit

j,aimerais bien vous rechaufer mais je suis ici pour reparer les armures et les armes de la garde et des balconnier

et je vous trouve un peut bizare pour une si jolie fille a demi vetue

Le forgeron retira la main de Noah et dit : '' - J'aimerais bien vous rechaufer mais je suis ici pour reparer les armures et les armes de la garde et des balconnier et je vous trouve un peut bizare pour une si jolie fille a demi vetue!''.
Elle le regarda, le fixant de ses yeux pâles et lui adressa un léger sourire, question de ne pas dévoiler ses dents. Elle avança d'un pas vers l'homme en lui répondit :

- ..Alors si vous voulez me réchauffer, qu'est-ce qui vous en empêche Messir le forgeron?...Et qu'est-ce que j'ai de si bizarre?...

Elle caressa sa longue chevelure rougeoyante et la fit glisser en cascade sur son épaule gauche. Sa main continua son chemin en caressant sa gorge nue, sa peau comme un flocon de neige. Elle entendais le coeur du forgeron battre dans sa poitrine.
Elle ajouta ensuite en roulant une mèche de ses cheveux autour de son index :

- ...Qu'est-ce qui vous arrive Messir?...Je vous rend nerveux?...Si vous me trouvez si jolie...Pourquoi me laisseriez-vous pas vous faire plaisir?...

Un sourire joueur colorais ses lèvre rosées.

le vieux forgeron recula d,un pas regarda la jeune femme de la tete au pied

ne soyer pas offusquer mais en voyagent dans tout vaste-terre j,ai appris que la beaute extérieur est plus dangereuse alors par un froid qui nous glace le sang

j,ai une petite reserve a vous réchaufer ma foi du bon dieu

et apres tout je n,ai qu,un seul amour servir ma belle dame Clothilde et sa suite

ne vous en deplaise ma chere

tout en portant sa main a sa dague car julius sentit que quelque chose n,allait pas

Le forgeron recula devant Noah et l'observa de la tête au pieds.
'' - Ne soyez pas offusquer mais en voyagent dans tout vaste-terre j'ai appris que la beaute extérieur est plus dangereuse alors par un froid qui nous glace le sang, j'ai une petite reserve a vous réchaufer ma foi du bon dieu et apres tout je n'ai qu'un seul amour servir ma belle dame Clothilde et sa suite ne vous en deplaise ma chere!''
Lorsque Noah vit l'homme mettre sa main sur sa dague avec un air méfiant, elle eu une mine tout de suite renfrognée et eu un long soupir. Pourquoi ses avances n'aportaient que des méfiances, bordel!? Elle porta les bras au ciel en soupirant très fort :

- Mais qu'est-ce que vous avez tous ici avec cette putain de Clothilde?! Qu'est-ce qu'elle a de si spéciale celle-là?!

Elle se retourna devant Cardianal et respira un grand coup comme pour se calmer... Mais lorsqu'elle ouvrit les yeux, l'émotion qui paraissait sur son visage était très différent que tout ce que les hommes ici présent avais pu voir d'elle. Son visage était celui d'un prédateur prêt à exploser. Elle se retourna face au forgeron et le fixa d'un air glacial. Un grognement monta dans la gorge de la femme, un grognement semblable a un animal en colère. Elle avançais doucement vers l'homme en le fixant toujours aussi intensemment :

- Je suis différente de tout ce que vous êtes, étiez ou que vous serez. Je suis au-delà de votre expérience, je suis au-delà du bien et du mal...Nikrid réside dans chacun de nous que nous le voulions ou non, le vice, l'envie, la luxure, l'envie de plus grand, d'être plus grand que soit, de possèder, de tout possèder, de vous possèder tous...Quand je veux quelque chose, je le prend...Ça peux prendre le temps qu'il faut mais j'arrive toujours à mes fins. Quand je veux quelque chose, je l'ai et la possède déjà d'avance...

Elle se recula de plusieurs pas, puis, dévoila ses canines pointues dans un sourire machiavélique...

[b]Je m'ennuyais au clan Mansours, une fois la nuit tombée la moitié de la Garde allait se couchée ou tombait dans un état végétatif intense... ce qui expliquait les réqurentes attaques sur le campement. Je décidai donc de m'en aller au village voir Cardinal et la Guilde Marchande, qui devait sûrement veiller comme a leur habitude.

Une fois éloigné du feu, ne tolérant pas le froid, j'entrai en phase élémentaire de feu tout en marchant tranquillement vers le village.

Je vis des formes humaines devant le bâtiment toujours animé de la guilde marchande, je salivai un peu en pensant au thé de Nayja. Peut-être qu'elle en aurait de trop ?
On dû me voir de loin à cause de ma phase élémentaire sauf peut-être la femme que je n'avais jamais vue en Lublin auparvant car j'était dos à elle. Ça avait l'aire de s'énerver d'ailleur...

J'interrompis ma phase élémentaire et mis un pied a côté de la femme, pour pouvoir avoir une meilleur vue sur ceux qui était devant la porte: Manifestement cardinal... et....
Le forgeron de la guilde marchande. Bien sympatique, le Bonhomme:
- HEY ! Cardinal, je m'enmmerdais de mon côté de ''ville''. Ça dérange si je viens prendre un thé avec la Guilde... je voulais justemment te parler de quelque chose.

En même temps que je parlais (ceux qui le savaient pas) on pouvait distinguer très aisément deux crocs/canines dans ma dentition.
Je me retournai vers la femme , interrompant toute conversation que le petit groupe aurait pu avoir auparavant (sans m'en soucier). Je lui tandis la main:
- Bonsoir, Sael Luther, Pour vous servir. Si vous avez à être servis de quelquonc façon...


(Si il y a un malentendu dans la situation actuelle des emplacements des personnages... vous n'avez qu'a me contacter en MP pour que j'arrange tout ça )

le vieux forgeron vit les crocs de la jeune femme ne vous facher pas vous ne comprendrer jamais

la relation que nous avons tous nous de la garde SEIGNEURIAL nous formons une famille et je donnerais ma vie

pour protéger les membres de ma famille. aller bon nous somme rendue pres des festiviter du temps des grace

nous n,allons pas nous laisser en mauvais terme se soir

Cardinal s'était perdu dans ses pensées...D'ailleurs il pensait vraiment trop ces temps-ci...Qu'allait-il manger ce soir du fromage ou du pain? Mais pourquoi pas du fromage avec du pain! Excellent choix! Cela ruinerait ses réserves mais au diable la pensée économe.

- ...le vice, l'envie, la luxure, l'envie de plus grand, d'être plus grand que soit, de possèder, de tout possèder, de vous possèder tous...Quand je veux quelque chose, je le prend...Ça peux prendre le temps qu'il faut mais j'arrive toujours à mes fins. Quand je veux quelque chose, je l'ai et la possède déjà d'avance...

Par la jarretelle d'Aléna il en avait manqué un bout!

- HEY ! Cardinal, je m'enmmerdais de mon côté de ''ville''. Ça dérange si je viens prendre un thé avec la Guilde... je voulais justemment te parler de quelque chose.

Quoi?

-...et je donnerais ma vie pour protéger les membres de ma famille.

Hein? Cardinal était vraiment troublé...

- Par toutes les putes des bordels existants...Il me semble que sa horriblement dérapé comme conversation!

Il fit une pause et remarqua les crocs de la femme.

- Elle est de ta famille Sael? Parce que le truc des dents c'est plutôt comique!

Un jeune homme arriva tout d'un coup pendant la colère de Noah, lui pris la main et lui fit un baise-mains, comme ça, ce qui coupa l'ascension de tention animale qui montait en elle. '' Bonsoir, Sael Luther, Pour vous servir. Si vous avez à être servis de quelquonc façon...''. Elle remarqua aussitot les canines de Sael... Elle pris une longue inspiration les yeux fermé en se retournant face à lui. Il sent l'humain...Son coeur bat calmement...le sang coule dans ses veine...Non...Dommage! Elle se sentait si seule depuis quelques années!
''Par toutes les putes des bordels existants...Il me semble que sa horriblement dérapé comme conversation!...Elle est de ta famille Sael? Parce que le truc des dents c'est plutôt comique!''
L'attention de Noah était maintenant sur Sael...Il l'intriguait. Elle lui regardais la bouche, ses dents, son sourire amical de ses yeux pâles. Elle inclina la tête sur la gauche et regarda longuement le jeune homme sans jamais cligner des yeux. Lui...Les pupilles sombres, les cheveux bouclés noir dans la nuit, le regard séduisant et profond...A son contacte, la main de Sael paraissait brûlante pour Noah qui avait l'habitude de la tièdeur des humains et de la froideur glaciale des siens...
Elle sorti de son fixe pour s'adresser un instant à Cardinal, les yeux rivés toujours sur Sael.

- Non, Messir Cardinal, Nous ne nous connaissont pas...C'est notre première rencontre en fait...En effet, le truc des dents c'est...

Des tonnes de question passait dans la tête de Noah, et a une vitesse folle. Qu'est-ce qu'il est ce Sael?!...Est-ce une menace? Est-ce un loup? Pourquoi semble-t-il plus chaud que les autres humains? Pourquoi ses dents sont...

Elle s'empressa de saisir la main de Sael, avec une force qu'elle ne contrôla pas et serra la main de Sael, l'agitant très lentement.

- ...Noah...Enchanté Monsieur Luther...Me servir de quelconque façon...

Elle eu un sourir en coin, joueur, dévoilant sa canine pointue. Elle entendait le sang de l'homme couler dans ses veines et savait ce qu'elle aimerais qu'il lui serve mais...elle ne pourrais tenter sa chance tant qu,elle ne saurait pas ce qu'il est vraiment...Qui sais...Il pourrais lui être fatale au goût!

-...Et que faites vous dans la vie Monsieur Luther...Question de savoir quel genre de services vous pourriez m'apporter!...

Elle lui adressa un sourire très séducteur en remêlant ses doigts dans sa longue chevelure...

*Arianne va lui casser la gueule si elle apprend ça*, pensa Cardinal.

Mais mais...C'est qu'il lui volait la vedette auprès d'une donzelle!

- Je sais pas exactement ce que vous voulez savoir par ''service'' mais euh... je peux faire ce qu'un homme peut faire. Je sais manier ma lame, plutôt aisément. Dans la vie, ce que je fais? Même en parlant de métier... C'est... abstrait ces jours-ci. Disons que je sais faire à peu près tout ce que ma lame et mon corps me permet de faire, en quelques mots.
euh...

Ah le cochon!

- Je ne sais pas trop ce que vous vouliez savoir, si vous voulez spécifier ? Sinon, je parle beaucoup mais vous... qui êtes vous?

Et il fait l'innocent...Quel maître de la séduction subtile! Cardinal se repris, il ne perdra pas le combat aussi aisément. Il s'écria aussitôt!

- Parlant de ta lame elle doit rapetisser avec l'hiver hein? Ha ha ha ha! Sinon mademoiselle moi je suis un excellent chanteur, poète et maire!

''Je sais pas exactement ce que vous voulez savoir par ''service'' mais euh... je peux faire ce qu'un homme peut faire. Je sais manier ma lame, plutôt aisément. Dans la vie, ce que je fais? Même en parlant de métier... C'est... abstrait ces jours-ci. Disons que je sais faire à peu près tout ce que ma lame et mon corps me permet de faire, en quelques mots. Je ne sais pas trop ce que vous vouliez savoir, si vous voulez spécifier ? Sinon, je parle beaucoup mais vous... qui êtes vous?''

Noah s'aprêtait à répondre lorsque Cardianal s'introduit, comme pour briser le lien qui dansait entre elle et Sael.

''Parlant de ta lame elle doit rapetisser avec l'hiver hein? Ha ha ha ha! Sinon mademoiselle moi je suis un excellent chanteur, poète et maire!''

Noah eu un large sourire quand elle s'apperçu de ce qui se passait devant elle...Deux hommes appétissants à souhait se battait pour son attention...Que c'est charmant!...Finalement, la colère qu'elle a eu devant le forgeron n'avait pas fait peur à ces jeunes hommes! Cardinal avait l'air tout simplement...simplet et ignorant de ce qu'il avait devant lui...Et Sael...Il avait eu un semblant de malaise, peut-être parce qu'il avais compris devant quoi il se présentait...Malgré qu'il a fini par se montré un vrai gentleman...
Noah eu un petit rire charmant. Elle regarda Cardinal avec des yeux admirateurs et lui caressa la joue de sa main blanche et glaciale.

- Je sais ce que vous êtes Messir Cardinal!...Un beau, grand Maire de village et un excellent Barde avec des manière charmantes pour une jeune dame qui a besoin de réconfort!

Noah savait qu'elle fournirait assez de compliment à Cardinal pour qu'il se bombe le torse, fier comme un coq! La réponse de Sael à la question de Noah était, certes floue, mais suffisante pour ce qu'elle voulait de lui...Qui est-elle?...La question se posait...Mais qu'elle réponse lui fournirait-elle?!
Elle se contenta de poser sa paume sur le torse de Sael en aprochant son visage du sien. Elle répondit donc à Sael, à voix basse, (mais que Cardinal aurais pu entendre tout de même) :

- Qui je suis?...Je suis qui je suis et je fait ce que je fait...Si j'ose m'explique aussi vaguement que vous...

Elle afficha un sourire en coin charmeur.

- Votre réponse aussi vague soit-elle me va a ravir...Mais je sent que la mienne ne soulèvera que des questionnements dans votre tête Monsieur Luther...Alors...Posez-moi donc cette question qui vous tente tant de me poser...Et peut-être me plairait-je à vous répondre!

Elle recula de quelques pas en fixant Sael d'un regard de braise et souris, passant une main délicate sur sa gorge ivoire.