Origine du peuple Féérique
Tous connaissent l’existence des fées, ou en a déjà entendu parler. Souvent considéré par les plus stoïques comme étant des « histoires de bonnes femmes », les histoires de survie miraculeuse en forêt et de petit rire sournois au détour d’un sentier pullulent. La vérité n’est connu que par les plus grand druides et prêtres de Milen’karios et vas comme suis.
Le plan matériel, aussi appelé « monde des mortels », et sa flore est protégée depuis les tous premiers jours de son existence par une mystérieuse magie issue de la divinité Dristanielle. Cette dernière créa le peuple féérique en même temps que les jardins éternels au temps où les premiers elfes commençaient à marcher sur terre et à combattre les créatures malsaine qui pouvait, en ce temps, traverser l’éthéré jusque dans le plan matériel sans rencontrer d’obstacle. Le peuple féérique allait en quelque sorte devenir l’âme protectrice des forets du monde et avec l’aide des druides, réussir à maintenir l’équilibre naturel nécessaire au cycle normal de la vie.
Résidence des fées et impact sur leur milieu
Le peuple féérique réside dans la version éthérée des forêts du plan matériel et y a accès en tout temps, et dans les deux sens. L’origine magique des fées et la proximité de leur monde avec les jardins éternels sert de conducteur aux sorts des druides et rodeurs et leur permet d’utiliser leurs pouvoirs qui tiennent autant du « Divin » octroyé par Dristanielle que de la magie féérique elle-même. Il existe trois type de fées : les fées bienfaisantes, les fées gardiennes et les fées malfaisantes.
Les fées bienveillantes
Empreinte de tolérance et du plaisir d’épier sans être vu, les fées bienveillantes ne se laissent jamais approcher par les simples voyageurs. Seuls les druides et rodeurs expérimentés peuvent se targuer d’avoir vu et conversé avec ces dernières. Elles surveillent de loin les actions des hommes et des bêtes et iront prévenir les fées gardiennes d’un éventuel danger nécessitant leur intervention. Ces petits êtres sont dotés d’une extrême intelligence, d’une grande sagesse et un pouvoir inné de guérison.
Exemples de fées bienveillantes: pixie, coure et autres éladrins de petite taille, nymphe.
Les fées gardiennes
Bras armé du peuple féérique, chaque gardien tire sa force d’un élément naturel bien précis : eau, arbre, buisson, rosier, ruisseau, rocher, etc. Chaque gardien vis près d’un de ces éléments et le protège, attendant une raison valable de le tirer de sa rêverie pour s’unir à d’autres gardiens pour défendre un élément naturel en danger. Quand une situation semblable se produit, ils suivent alors les directives des fées bienfaisantes.
Exemples de fées gardiennes: éladrin de taille moyenne, thorn, driade, golem, licorne, sylvanien, esprit élémental.
Les fées malfaisantes
Comme l’éthéré est connecté au plan des ombres, parfois un esprit mauvais arrive à percer les défenses des jardins éternels en passant de l’ombre à l’éther. Quand cela se produit, une fée malfaisante voit le jour en pleine forêt du plan matériel. Elle sera agressive, violente, et s’attaquera aux voyageurs imprudents qui la dérangera. Une fée malfaisante continuera a protéger ses bois, mais de manière agressive dénuée de toute tolérante.
Exemples de fées malfaisantes: red-cap, guenaude, trolls des forêts, quickling, lamie.
texte d'Alexandre Tanguay